Tuesday, October 20, 2015

 

A Legacy

François Villon, "The Legacy" ("Le Lais"), lines 65-72 (tr. Galway Kinnell, with his notes):
First in the name of the Father        65
Son and Holy Ghost
And of the glorious Mother
By whose grace no one perishes
I leave my fame God willing
To Master Guillaume Villon        70
Which resounds in honor of his name
Also my tents and my pavilion.

69 fame: The word bruit ("noise" or "renown") may have the secondary meaning of "fart."

70 Guillaume Villon: Guillaume de Villon, Villon's friend and benefactor, chaplain of Saint Benoît-le-Bétourné. In The Testament (857) Villon wills him his library.
The French:
Premierement ou nom du Pere        65
Du Filz et Saint Esperit
Et de sa glorieuse Mere
Par qui grace riens ne perit
Je laisse, de par Dieu, mon bruit
A maistre Guillaume Villon        70
Qui en l'onneur de son nom bruit
Mes tentes et mon pavillon.
Among the books in his library left in The Testament to Guillaume Villon was a book supposedly called "The Tale of the Devil's Fart" ("le Rommant du Pet au Deable," line 858). See Jean-Marie Fritz, "L'Horizon sonore de la poésie de François Villon," in L'hostellerie de pensée: études sur l'art littéraire au Moyen Age offertes à Daniel Poirion par ses anciens élèves (Paris: Presses de l'Université de Paris-Sorbonne, 1995), pp. 173-185 (at 175):
Quant au legs initial du Lais à son père, le «bruit» (soit la renommée), le Testament lui substitue le roman du Pet au Deable: léguer son bruit était déjà un cadeau empoisonné, puisque la renommée de Villon en 1456 était loin d'être parfaite (il avait commis un meurtre et participé à un vol), mais le legs du roman fictif du Pet au Deable dans le Testament nous invite rétrospectivement à comprendre le «bruit» du Lais également dans un sens obscène.
For similar legacies see Valerie Allen, On Farting: Language and Laughter in the Middle Ages (New York: Palgrave Macmillan, 2007; rpt. 2010), pp. 74-75.

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